Vous envisagez de rénover votre toiture ou de refaire l’étanchéité autour de votre cheminée ? Le choix du matériau pour votre solin n’est pas anodin. Cette pièce d’étanchéité, souvent discrète mais absolument indispensable, protège votre habitation des infiltrations d’eau à la jonction entre la couverture et les éléments verticaux comme les cheminées, les murs ou les lucarnes.
Face aux différentes options disponibles sur le marché, vous vous demandez probablement quel matériau privilégier pour garantir une protection optimale de votre toit. Voici les points clés à retenir :
- Le mortier reste la solution la plus économique, particulièrement adaptée à la rénovation, mais présente des risques de fissuration dans le temps
- Le zinc offre un excellent compromis entre esthétique, durabilité et facilité de pose, tout en permettant la dilatation des matériaux
- Le plomb se distingue par sa malléabilité exceptionnelle qui s’adapte aux irrégularités, malgré son impact environnemental
- D’autres matériaux comme l’aluminium, le cuivre ou la calendrite répondent à des besoins spécifiques selon votre type de couverture
Dans cet article, nous allons détailler les caractéristiques de chaque matériau, vous aider à faire le bon choix selon votre toiture, et vous donner les clés pour éviter les erreurs fréquentes qui compromettent l’étanchéité de votre toit.
Quels sont les différents types de solins et leurs matériaux ?
Le solin est un dispositif d’étanchéité qui se positionne à la jonction entre votre couverture de toiture et un élément vertical comme une cheminée, un mur ou une lucarne. Son rôle principal consiste à empêcher les infiltrations d’eau de pluie et à protéger la structure de votre bâtiment contre l’humidité. Au-delà de sa fonction protectrice, le solin contribue également à l’isolation thermique de votre maison en limitant les déperditions de chaleur au niveau de ces raccords.
Que vous soyez en construction neuve, en rénovation ou lors de travaux de surélévation, le choix du bon matériau pour votre solin de toiture déterminera la durée de vie et l’efficacité de cette protection. Les matériaux disponibles se répartissent en deux grandes catégories : les matériaux minéraux et les matériaux métalliques.
Classification des matériaux
Les matériaux de solin se divisent en deux familles bien distinctes. D’un côté, les matériaux minéraux regroupent le mortier, le ciment et le plâtre. Ces solutions traditionnelles restent très présentes dans les travaux de rénovation, notamment pour leur facilité de mise en œuvre et leur prix abordable. De l’autre, les matériaux métalliques comprennent le zinc, le plomb, l’aluminium, le cuivre, l’acier et l’inox, ainsi que le bitume armé (calendrite). Ces matériaux offrent généralement une meilleure résistance aux intempéries et permettent une plus grande souplesse d’utilisation.
Le choix entre ces deux catégories dépend de plusieurs facteurs : le type de couverture, l’exposition de votre habitation aux intempéries, votre budget, et vos attentes en termes d’esthétique et de durabilité. Chaque matériau présente des avantages spécifiques et répond à des besoins particuliers selon la configuration de votre toiture.
Solins en mortier
Le solin en mortier représente la technique la plus ancienne et la plus économique pour assurer l’étanchéité de la toiture. Il se présente sous forme de bourrelet appliqué directement à la jonction entre la couverture et le mur. Constitué d’un mélange de ciment, de sable et d’eau, ce type de solin reste particulièrement adapté aux travaux de rénovation sur des bâtiments traditionnels.
La pose d’un solin en mortier demande une préparation minutieuse du support. Vous devez d’abord nettoyer soigneusement la surface, puis préparer le mortier en respectant les proportions : 1 volume de ciment pour 3 volumes de sable, avec ajout d’eau jusqu’à obtenir une consistance ni trop liquide ni trop épaisse. L’application se fait en bourrelet qui doit couvrir à la fois le mur et la partie haute de la toiture, garantissant ainsi une couverture complète des deux surfaces. Après lissage et compactage, le séchage nécessite 24 à 48 heures avant une vérification finale.
Le mortier dit « bâtard », qui mélange ciment et chaux, est recommandé pour sa souplesse accrue et sa résistance renforcée aux fissures. Cette variante offre une meilleure adhérence et vieillit mieux dans le temps. Toutefois, le solin en mortier présente des limites : il peut se fissurer avec les années, notamment sous l’effet des cycles de gel et dégel. Il ne permet pas non plus la dilatation des matériaux et n’est pas démontable, ce qui complique les réparations futures.
Solins métalliques

Les solins métalliques représentent aujourd’hui la solution privilégiée pour les constructions neuves et les rénovations exigeantes. Parmi eux, le solin en plomb, aussi appelé bavette de plomb, se distingue par sa malléabilité exceptionnelle. Cette caractéristique lui permet de s’adapter parfaitement aux irrégularités du support, assurant une étanchéité parfaite même sur des surfaces imparfaites. Le plomb offre une durabilité remarquable et s’utilise souvent en combinaison avec un profilé en zinc pour renforcer la fixation. Néanmoins, ce matériau soulève des préoccupations environnementales en raison de son caractère polluant, et son aspect peut paraître moins esthétique que d’autres options.
Le solin en zinc s’impose comme le choix favori de nombreux couvreurs professionnels à Nantes. Il offre une finition esthétique de qualité tout en permettant la dilatation des matériaux, ce qui réduit considérablement les risques de fissuration. Résistant et recyclable, le zinc présente un excellent rapport qualité-prix pour l’étanchéité de la toiture. Sa mise en œuvre nécessite une pose précise car il est plus fin que le plomb, mais un artisan expérimenté saura le travailler avec la minutie requise. Les solins en zinc se fixent à l’aide de vis, de clouage ou par collage selon la configuration, avec application d’un joint silicone ou mastic pour renforcer l’étanchéité.
L’aluminium constitue une alternative intéressante pour les solins de toiture. Léger et facile à mettre en forme, ce matériau se prête bien aux installations rapides. Attention toutefois : en cas de contact avec le béton ou en zone côtière, l’aluminium doit être protégé par un enduit ou un traitement spécifique pour éviter la corrosion. Le cuivre, plus onéreux, offre une excellente longévité et se patine naturellement avec le temps, créant une protection supplémentaire. Sa malléabilité facilite la pose et son aspect évolue vers une teinte verdâtre qui peut s’harmoniser avec certaines architectures.
Enfin, l’inox et l’acier galvanisé trouvent leur place principalement en toiture industrielle ou dans les environnements agressifs. Ces matériaux résistants à la corrosion sont faciles à façonner et offrent une esthétique moderne. Leur surface lisse facilite l’écoulement de l’eau de pluie et limite l’accumulation de débris.
Solins en calendrite
La calendrite, également appelée bitume armé, représente une solution spécifique pour les toitures plates ou en tôle. Ce matériau se présente sous forme de bandes qui s’appliquent au chalumeau directement sur le support. La pose nécessite un savoir-faire technique précis pour garantir une étanchéité durable.
La calendrite offre une bonne protection contre les eaux pluviales et s’adapte particulièrement bien aux surfaces horizontales ou faiblement inclinées. Sa durabilité dépend fortement de la qualité de la mise en œuvre : une application mal réalisée peut entraîner des décollements prématurés et compromettre l’étanchéité de la toiture. Ce type de solin se combine souvent avec des relevés d’étanchéité pour former un système complet de protection.
Comment choisir le solin adapté à sa toiture ?
Le choix du matériau pour votre solin ne se fait pas au hasard. Il dépend directement du type de couverture installée sur votre habitation, mais aussi de nombreux autres critères techniques et pratiques. Une sélection adaptée garantit une étanchéité optimale et évite les problèmes d’infiltration qui peuvent coûter cher en réparations.
En fonction du type de couverture
Chaque matériau de couverture appelle un type de solin spécifique pour assurer une protection efficace. Pour une toiture en tuile, vous pouvez opter pour un solin en plomb, en zinc ou en aluminium. Ces matériaux métalliques s’adaptent bien à la forme ondulée des tuiles et permettent un raccord étanche. La bavette de plomb reste particulièrement appréciée pour sa capacité à épouser les irrégularités.

Les toitures en ardoise nécessitent généralement un solin en plomb ou en zinc. L’ardoise, matériau noble et durable, mérite un dispositif d’étanchéité à la hauteur. Le plomb se prête bien à cette association, tandis que le zinc offre une alternative plus esthétique et tout aussi résistante. Pour les toitures en tôle, l’aluminium ou le bitume constituent les choix privilégiés. L’aluminium présente l’avantage de la légèreté et s’harmonise naturellement avec le métal de la couverture.

Le bac acier requiert une approche différente : vous pouvez utiliser de la mousse expansive pour les petits espaces, ou un solin métallique renforcé avec du mastic pour une étanchéité renforcée. Le fibrociment s’accorde bien avec un solin en zinc ou en aluminium, à condition d’appliquer un traitement anti-humidité pour éviter toute dégradation du support. Enfin, pour une toiture plate, privilégiez le bitume ou l’aluminium, en veillant à créer une pente suffisante et à poser une bande d’étanchéité adaptée.
Critères de choix
Au-delà du type de couverture, plusieurs critères doivent guider votre décision. La durabilité du matériau constitue un facteur déterminant : un solin en zinc ou en plomb dure plusieurs décennies, tandis qu’un solin en mortier peut nécessiter des réparations après 10 à 15 ans. L’esthétique joue aussi son rôle, particulièrement pour les cheminées visibles depuis la rue. Le zinc offre une finition soignée qui vieillit bien, contrairement au mortier qui peut devenir inesthétique avec le temps.
Le budget représente naturellement un élément à prendre en compte. Le mortier reste la solution la plus abordable, mais sa durée de vie limitée peut augmenter les coûts à long terme. Les matériaux métalliques demandent un investissement initial plus important, mais leur longévité compense largement ce surcoût. La facilité d’entretien mérite également votre attention : un solin métallique nécessite peu d’intervention, tandis qu’un solin en mortier demande une vérification visuelle régulière.
L’exposition de votre habitation aux intempéries influence fortement le choix du matériau. En zone côtière, l’aluminium doit être traité pour résister à la corrosion saline. Dans les régions soumises à de fortes variations thermiques, privilégiez un matériau qui permet la dilatation, comme le zinc. Le porte-solin peut accompagner votre installation pour faciliter la pose et l’indépendance de mouvement entre le mur et la toiture, réduisant ainsi les risques de fissures.
Quelles sont les erreurs à éviter avec les solins ?
Un solin mal posé ou dégradé compromet rapidement l’étanchéité de votre toiture et peut entraîner des dégâts importants dans votre habitation. Les infiltrations d’eau provoquent des dommages sur les charpentes, les plafonds et les murs, avec des coûts de réparation qui dépassent largement le prix initial d’une pose correcte. Connaître les erreurs fréquentes vous permet de les éviter ou de les détecter rapidement.
Principales pathologies
La fissuration du mortier représente le problème le plus fréquent avec les solins traditionnels. Les cycles de gel et dégel, combinés aux mouvements naturels du bâtiment, créent des tensions qui fissurent le bourrelet de ciment. Ces fissures, même fines au départ, laissent progressivement passer l’eau de pluie et s’élargissent avec le temps. Une vérification visuelle après les périodes hivernales permet de détecter ces fissures avant qu’elles ne causent des dégâts majeurs.
Le décollage du mastic constitue une autre pathologie courante, particulièrement sur les solins métalliques. Un mastic de mauvaise qualité ou mal appliqué perd son adhérence et crée des espaces par lesquels l’eau s’infiltre. La partie haute du solin est particulièrement exposée à ce risque, car elle subit directement l’impact de la pluie et les variations de température.
La corrosion ou déformation des métaux affecte surtout les solins en aluminium non protégés ou les installations en acier galvanisé de mauvaise qualité. L’humidité permanente, combinée aux agents atmosphériques, attaque progressivement le métal et compromet son étanchéité. Les zones côtières et les environnements industriels accélèrent ce phénomène. Une mauvaise adhérence du solin sur son support provient souvent d’une préparation insuffisante de la surface. Un support sale, humide ou irrégulier empêche la fixation correcte du dispositif d’étanchéité.
La réparation d’un solin endommagé nécessite une intervention méthodique. Commencez par la dépose complète de l’ancien matériau, puis nettoyez soigneusement la zone concernée. La pose d’un nouveau solin doit respecter les règles de l’art, avec un matériau compatible et l’application d’un joint d’étanchéité adapté. L’entretien préventif, par une vérification visuelle régulière notamment après des épisodes de pluie intense ou de gel, vous permet d’anticiper les problèmes et d’intervenir avant que les dégâts ne s’aggravent.
Incompatibilités de matériaux
Certaines associations de matériaux créent des problèmes qui compromettent l’étanchéité de la toiture. Le mélange de zinc et plomb associés au mortier figure parmi les erreurs les plus fréquentes. L’incompatibilité thermique entre ces éléments provoque des tensions lors des variations de température : le métal se dilate tandis que le mortier reste rigide, créant des fissures à la jonction.
L’incompatibilité chimique pose également problème. Certains métaux réagissent au contact du ciment ou de la chaux présents dans le mortier, accélérant la corrosion. Cette réaction chimique fragilise progressivement le solin métallique et réduit sa durée de vie. Pour éviter ces problèmes, utilisez un porte-solin qui sépare physiquement le métal du mortier, ou optez pour une solution entièrement métallique avec des joints silicone.
L’aluminium en contact direct avec le béton non traité subit une corrosion rapide due à l’alcalinité du béton. Un enduit de protection ou un traitement spécifique s’impose pour garantir la pérennité de l’installation. De même, l’utilisation de vis ou de fixations en acier ordinaire sur un solin en zinc ou en cuivre crée une corrosion galvanique : privilégiez des fixations dans le même métal ou en inox pour éviter ce problème.
Combien coûte un solin et son installation ?
Le budget à prévoir pour l’installation d’un solin varie considérablement selon le matériau choisi, la complexité de la pose et les conditions d’accès à votre toiture. Comprendre ces différents paramètres vous aide à anticiper l’investissement nécessaire et à demander des devis cohérents auprès des artisans.
Prix des matériaux seuls
Pour un achat en fourniture seule, comptez entre 15 et 20 euros par mètre linéaire en moyenne. Ce tarif varie selon le matériau sélectionné : le mortier reste le moins cher, avec des prix démarrant autour de 10 euros le mètre linéaire si vous réalisez vous-même le mélange. Les bandes de solin en zinc se situent généralement entre 15 et 25 euros le mètre linéaire selon l’épaisseur et la qualité.
Le plomb, plus onéreux, atteint 20 à 30 euros le mètre linéaire pour une bavette de qualité standard. L’aluminium se positionne dans une fourchette intermédiaire, entre 12 et 20 euros le mètre linéaire. Le cuivre, matériau haut de gamme, peut dépasser 40 euros le mètre linéaire mais offre une longévité exceptionnelle. La calendrite se vend par rouleau, avec des prix variant de 15 à 25 euros le mètre linéaire selon la qualité et l’épaisseur du bitume armé.
Coût avec pose professionnelle
L’intervention d’un couvreur professionnel pour la fourniture et la pose d’un solin représente un investissement plus conséquent, mais garantit une installation conforme aux règles de l’art. Comptez entre 40 et 60 euros par mètre linéaire en moyenne pour une prestation complète. Ce tarif intègre le déplacement de l’artisan, la fourniture du matériau, la préparation du support, la pose et les finitions.
Plusieurs facteurs font varier ce prix à la hausse. La complexité de l’intervention joue un rôle majeur : un solin de cheminée demande plus de temps et de technicité qu’un simple solin contre mur. Le type de couverture influence également le tarif : travailler sur des ardoises ou des tuiles anciennes nécessite plus de minutie. Les conditions d’accès à votre toiture pèsent aussi dans le devis : une installation en hauteur avec mise en place d’échafaudages augmente les coûts.
Un solin en mortier posé par un professionnel coûte généralement entre 30 et 45 euros le mètre linéaire. Pour un solin métallique en zinc ou en plomb, prévoyez 45 à 70 euros le mètre linéaire selon la difficulté. Les interventions sur toiture plate ou avec mise en œuvre de calendrite se situent dans une fourchette de 50 à 80 euros le mètre linéaire.
Bonnes pratiques
Pour maîtriser votre budget tout en garantissant la qualité des travaux, adoptez quelques réflexes simples. Demandez systématiquement plusieurs devis gratuits auprès de différents artisans. Cette démarche vous permet de comparer les prix, mais aussi d’évaluer le professionnalisme de chaque couvreur à travers la précision de son devis. Un devis détaillé doit mentionner le matériau exact utilisé, les dimensions, la technique de pose et le délai d’intervention.
Faire appel à un couvreur-zingueur qualifié s’impose pour les travaux complexes ou en hauteur. Ce professionnel possède l’expertise technique et le matériel adapté pour réaliser une installation durable. Vérifiez que l’artisan dispose d’une assurance décennale qui couvre les éventuels problèmes d’étanchéité. N’hésitez pas à demander des références de chantiers similaires ou à consulter les avis d’anciens clients.
Privilégiez une intervention groupée si plusieurs éléments de votre toiture nécessitent des travaux. Faire poser simultanément les solins de cheminée, contre mur et de lucarne permet souvent d’obtenir un tarif plus avantageux. Profitez d’une rénovation complète de toiture pour refaire l’ensemble des dispositifs d’étanchéité : le surcoût reste limité puisque l’artisan est déjà sur place avec son matériel.
Faire le bon choix pour une étanchéité durable
Le choix du matériau pour votre solin de cheminée dépend finalement de plusieurs facteurs qu’il convient de mettre en balance. Le mortier s’impose comme la solution la plus économique et convient parfaitement aux rénovations de bâtiments anciens où l’esthétique traditionnelle prime. Sa facilité de mise en œuvre et son prix abordable en font un choix pertinent si vous acceptez un entretien régulier et des réparations possibles après une dizaine d’années.
Le zinc représente aujourd’hui le meilleur compromis pour la majorité des projets. Il combine durabilité, esthétique soignée, facilité d’entretien et respect de l’environnement grâce à sa recyclabilité. Sa capacité à permettre la dilatation des matériaux évite les fissures, tandis que sa résistance aux intempéries garantit une longue durée de vie. Le zinc convient à tous les types de couverture et s’adapte aussi bien aux constructions neuves qu’aux rénovations exigeantes.
Le plomb conserve des atouts indéniables, notamment sa malléabilité exceptionnelle qui assure une étanchéité parfaite même sur des supports irréguliers. Malgré les préoccupations environnementales, ce matériau reste pertinent pour des situations techniques complexes où d’autres solutions montreraient leurs limites. Son association avec un profilé en zinc optimise la fixation et renforce la protection.
Pour garantir la pérennité de votre installation, retenez ces principes : adaptez toujours le matériau à votre type de couverture, préparez soigneusement le support, évitez les incompatibilités entre matériaux, et faites appel à un couvreur qualifié pour les travaux en hauteur ou complexes. Une pose réalisée dans les règles de l’art, combinée à un entretien régulier, vous assure une protection efficace de votre toiture pendant des décennies. N’hésitez pas à demander conseil à un professionnel qui saura analyser votre situation spécifique et vous proposer la solution la mieux adaptée à votre habitation et à votre budget.
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